GOOD EVENING, SENS


Nous vous avons expliqué pourquoi et comment nous était venue l'idée de faire une émission de radio présentant le monde anglo-saxon (voir notre page "qui sommes nous ?" - nous y décrivons notre démarche).

radio

Toutefois, nous apporterons ici quelques détails plus précis sur :

  1. les débuts et les premiers objectifs de ce programme de radio.
  2. l'évolution du programme en question.
  3. le rôle de la musique dans cette émission.
  4. nos sources de news et de musiques.

 

Vous pourrez également consulter certaines des "News" développées ainsi que "les playlists" des musiques diffusées et quelques fiches critiques sur les musiques choisies. Peut-être un jour pourrons-nous être en mesure de diffuser l'émission intégralement sur le Web. Who knows ? Keep in touch !

En attendant,

Logo de Radio Stolliahc

... vous pouvez déjà vous brancher sur Radio STOLLIAHC 90.1 F.M., si vous êtes dans l'Yonne et aux environs de Sens...

tous les vendredis entre 20 h et 21 h 30.




Notre émission de radio.

1) Les débuts et les premiers objectifs de ce programme de radio.

L' A.F.B.S. (Association Franco-Britannique de Sens) a vu le jour en Mai 1991 et les deux principaux objectifs qu'elle a visé dès le départ étaient d'obtenir que la ville de SENS se jumelle avec une ville anglaise, et de mieux faire connaître le monde anglo-saxon sous toutes ses formes aux anglophiles de notre région.

Une fois le jumelage avec CHESTER réalisé en 1993, nos énergies se sont automatiquement reportées sur le second aspect du projet. L'idée de faire une émission de radio (qui sommeillait depuis le début dans l'esprit de certains mais n'avait pas pu prendre forme faute de temps) s'est vite retrouvée sur la table lors d'une de ces longues soirées d'échanges d'idées autour de quelques bonnes "pintes" ramenées d'outre-Manche, et souvent conclues par un "pure malt" parfois distillé dans les landes d'Écosse à l'époque de nos premiers séjours en Angleterre, 20 ou 30 ans plus tôt dans les célèbres "Sixties".

Il faut dire que la décision de créer une émission de radio a été d'autant plus facile à mettre en oeuvre dans la mesure où deux de nos membres les plus actifs avaient déjà produit et animé une émission d'information et de rubriques diverses sur la radio locale de Sens : STOLLIAHC F.M. D'ailleurs, hommage soit ici rendu à nos maîtres en la matière : Bernard YANEZ et Anne-Lise OZIL.

"LOVE FROM SENS" est ainsi née le 1er octobre 1993.

Fruit d'un travail d'équipe, son but était de présenter, un vendredi soir par mois, en une heure, un dossier sur le monde anglo-saxon, le tout entrecoupé de musiques diverses au goût de animateurs.

Parmi le sujets abordés, nous noterons tout particulièrement :

- les traditions de Noël en Grande-Bretagne ;
- l'architecture en Grande-Bretagne ;
- l'Écosse ;
- les "pubs" et autres débits de boissons traditionnels
- la peinture anglaise...

Cet apprentissage a pu révéler aux amateurs que nous étions les exigences d'un tel exercice (sans parler du temps de préparation nécessaire !) :

- avoir des choses à dire ;
- maîtriser son sujet ;
- avoir une connaissance suffisante de la musique anglo-saxonne que nous voulions également faire découvrir ;
- avoir une certaine facilité à s'exprimer clairement devant un micro...

Beau programme, mais à ce jeu exigeant, certains ont assez vite jeté l'éponge, et rapidement deux compères se sont trouvés en première ligne, seuls devant les microphones du studio : Bruno PIGUET et Jean-Louis PECHINE (Anne-Lise et Bernard déjà cités se tenant volontairement en retrait sachant que leurs obligations professionnelles allaient leur faire quitter la ville de Sens très rapidement).

Il y aura en tout 9 numéros de "Love from Sens" en un an.

2) L'évolution du programme en question.

Après une année de rodage et le départ de nos mentors, après une légitime coupure pendant l'été, l'émission a donc repris le 23 septembre 1994. Mais la donne avait toutefois changé et l'émission allait s'en trouver fortement modifiée. Tout d'abord, les rendez-vous une fois par mois s'étaient montrés loin d'être satisfaisants : les premiers "fidèles auditeurs" nous avouaient avoir parfois "raté" le "bon" vendredi ! Décision a donc été prise - non sans quelques inquiétudes devant la charge de travail que cela impliquait, toujours sur notre temps-libre - de faire une émission hebdomadaire.

A lui seul, ce changement important aurait suffit à justifier la recherche d'un nouveau titre pour marquer cette étape significative, mais il y eu aussi d'autres modifications. Avec des effectifs réduits et vue la charge de travail que cela aurait demandé, il n'était pas question de faire un dossier chaque semaine. Nous décidions donc d'encadrer un unique dossier mensuel avec des émissions d'interview des Britanniques de passage à Sens, ou des revues de presse sur ce qui se passait dans les pays anglo-saxons, voire des récits de voyages faits par nos adhérents au moment des vacances.

C'était donc, ce 23 septembre 1994, la première de "GOOD EVENING, SENS", une émission qui ne s'est pas interrompue depuis (sauf pour quelques périodes de vacances bien légitimes quand même !). Le titre choisi est bien sûr un clin d'oeil, un hommage à ce film tourné en 1987 sur un animateur de radio en pleine guerre en Asie du sud-est dans les années 1960 et son célèbre cri d'ouverture d'antenne : "GOOOOOOOOOD MORNING VIET-NAM".

Entre septembre 1994 et septembre 1997, sous la houlette de Bruno PIGUET, amoureux de la Grande-Bretagne depuis son adolescence, promu par la force des choses producteur-animateur, et régulièrement épaulé par Jean-Louis PECHINE, le programme a donc suivi imperturbablement son rythme en alternant les rubriques définies ci-dessus, sans négliger toutefois les découvertes musicales : nous souhaitions présenter, expliquer et illustrer certains aspects des musiques originaires des pays anglo-saxons dont nous parlions.

Nous avons ainsi pu proposer, par exemple :

- Les dossiers suivants : le cinéma anglais ; l'Irlande ; l'Australie ; notre ville jumelle de Chester en Angleterre ; la presse nationale en Grande-Bretagne ; l'Inde ; le Pays de Galles ; la ville de Londres ; des vieilles Dames auteurs de romans policiers ; etc...
- Les interviews suivantes : les assistants britanniques en poste un an dans les établissements scolaires de Sens ; des élèves et des jeunes ayant participé à des échanges avec Chester ; le responsable de la Police de Chester ; le Président du Cercle Français Cestrien ; des professeurs de français des établissements d'enseignement de Chester ; le Président de la Chambre de Commerce de Chester, etc...
- Les récits de voyage suivants : la découverte de la côte est des Etats-Unis d'Amérique ; un voyage en Inde ; une visite de la côte ouest des USA ; la description touristique de la ville de Chester ; une visite détaillée de la ville de Dublin ; etc...
- et comme dossiers musicaux approfondis : un panorama historique des différentes formes de jazz ; l'histoire du Blues ; un aperçu des musiques des anciennes colonies britanniques ; les différents aspects de la musique des Beatles au fil de leur carrière ; la découverte d'une voix de cristal : Loreena McKennitt ; etc...

Au fil des semaines, le duo de présentateurs déjà nommé trouvait un équilibre qui donnera beaucoup de vie et de gaieté à cette heure de découverte du monde anglo-saxon et de ses musiques sur les ondes locales. Toutefois, dès 1996, en raison d'obligations professionnelles qui lui imposaient parfois de s'absenter, et suite à des charges de travail supplémentaires importantes, Jean-Louis PECHINE a du, petit à petit, se retirer de l'émission. Il faut dire qu'il était devenu Président de l'A.F.B.S. en 1993, puis co-animateur, toujours sur Radio Stolliahc, d'une émission culturelle et politique sur la vie locale, dans un créneau horaire qui lui convenait mieux... et pour couronner le tout, il deviendra même Président de Radio Stolliahc en 1999 !

Désormais seul - à partir de 1997 - pour produire et animer "Good Evening, Sens", Bruno PIGUET continue (sans se décourager) cette course sans fin qui consiste à brosser un portrait le plus complet possible de cet univers anglo-saxon en perpétuelle évolution et pas toujours facile à saisir pour nos esprits cartésiens.

Fin 1997, après avoir fêté sa 100ème au mois de mai, "GOOD EVENING, SENS" prenait un autre tournant en donnant de plus en plus de place à la présentation et aux commentaires de coupures de presse des "daily papers" britanniques, pour coller le plus possible à la réalité et à l'évolution du monde anglo-saxon, et en raison également de la diminution du nombre d'interviews (y aurait-il moins d'Anglais de passage à Sens ?), de la raréfaction du nombre de voyageurs disposés à venir compter leurs aventures au micro (on ne peut pas inviter toujours les mêmes !), et à la quantité de dossiers déjà traités (nous ne souhaitons pas - pour le moment - nous répéter en reprenant quelques mois plus tard un thème déjà abordé).

Pour être plus précis sur ces coupures de presse, notre projet ne vise pas à reprendre les grands sujets portant sur le monde anglo-saxon déjà largement analysés par les grands médias français (sauf à apporter un point de vu répandu en Angleterre et ignoré en France), mais au contraire, d'aller piocher dans les brèves développées dans la presse de Grande-Bretagne et qui, négligées dans l'hexagone, nous permettent de mieux connaître nos voisins en découvrant certaines de leurs préoccupations ainsi révélées.

Le volet musical mis en place, quant à lui, ne perdra jamais de son importance - au contraire même - mais lui aussi a évolué dans le temps.

3) Le rôle de la musique dans cette émission.

Dès le début, la musique a joué (c'est le cas de le dire !) un rôle important dans notre présentation des différents aspects de la vie du monde anglo-saxon. Plus que de simples "respirations" entre les différentes pages de nos dossiers, les morceaux sélectionnés traduisent toujours une époque, illustrent un thème, révèlent parfois les goûts des animateurs, ou encore sont le résultat des explorations qu'ils ont pu effectuer dans des territoires musicaux inconnus en France et dans les grands médias en général... Les illustrations musicales de cet univers anglo-saxon que nous avons choisi de vous révéler n'ont jamais été traitées de façon désinvolte, et encore moins "piquées" au hasard de la mode, avec facilité, parmi les "tubes" et les "hits" omniprésents sur toute la bande F.M. A quoi bon, en effet, entendre les mêmes airs que partout ailleurs ? (Sans pour autant nier la valeur musicale de certains de ces grands succès).

Notre volonté d'alterner des trésors musicaux plus anciens un peu trop vite oubliés avec des "nouveautés" qui ne sont, à notre connaissance, jamais sorties en France, n'a pas varié depuis 1993, même si, en raison des circonstances, le format et le rythme de l'émission ont évolué. Et chaque voyage en Grande-Bretagne était l'occasion de nouvelles découvertes et de nouveaux achats. Merci à ceux qui nous ont guidé dans ces recherches. Et nous sommes fiers et heureux (parce que le vrai bonheur se partage) d'avoir fait connaître autour de nous en France certains artistes anglo-saxons, plutôt "folk" il est vrai, injustement ignorés. Qui, parmi vous, connaissait déjà en 1993 des groupes comme Pentangle, Capercaillie ou Steeleye Span ? Qui, à cette époque, avait déjà entendu la voix de Maddy Prior ou celle de Loreena McKennitt ? Siân James, Niamh Parsons ou Eileen Mc Gann faisaient-elles déjà partie de votre univers musical ? Oui ! Alors vous méritez d'être décorés de l'ordre du mérite anglophile et nous n'avons visiblement plus grand chose à vous apprendre !

Côté "vieux trésors" musicaux ressortis des années 1960-70, il n'est pas sans intérêt de faire découvrir à tous ceux qui ont encore un certain goût "historique" pour le rock blanc d'Elvis Presley, de Gene Vincent, des Beatles ou des Rolling Stones ou encore de tous leurs descendants que cette musique a en fait été inventée par les Bluesmen noirs américains des années 1940-50 influencés eux-mêmes par le jazz, le gospel et la country music de leurs parents, mais victimes pour la plupart d'un mépris total dans une société encore profondément raciste. Et le succès tardif dans la société blanche occidentale des années 1960 de Chuck Berry, Fats Domino, Little Richard ou de Ray Charles ne doit pas occulter toute l'inventivité de leurs grands prédécesseurs qui se nomment John Lee Hooker, B.B. King, Lightnin' Hopkins ou Muddy Waters, entre autres. Et les Rolling Stones ne s'y sont pas trompés qui ont choisi en son hommage le nom de leur groupe dans les rimes de ce dernier. La porte des Blancs enfin ouverte aux Noirs a permis depuis à plus d'un, et ce jusqu'aux "rappeurs" des années 1990, d'être mondialement reconnu à sa juste valeur. Mais quelles radios diffusent encore régulièrement de nos jours toutes ces musiques ? Que penserait-on d'une radio "classique" qui présenterait du Berlioz et du Poulenc sans jamais redécouvrir Bach, Beethoven ou Mozart ? C'est justement parce que la majorité des radios sur la bande F.M. ne s'intéresse qu'à une petite partie "commerciale" de la musique anglo-saxonne actuelle que nous avons volontairement choisi d'explorer sans relâche des sentiers nouveaux mais peu visités (ceux du FOLK, du FOLK-ROCK...), ou des sentiers oubliés et abandonnés aux ronces (ceux du BLUES et du ROCK à ses débuts).

L'évolution intervenue dans le choix des musiques de l'émission vient en partie de ce que de plus en plus de maisons de disques anglo-saxonnes nous ont fait part de la sortie de leurs nouveautés folk et folk-rock entre autres.

Pour ce qui est du format de l'émission, le dernier grand changement est intervenu en janvier 1997 lorsque le créneau horaire qui nous avait été attribué a été allongé de 30 minutes, nous permettant ainsi de mieux séparer les genres : 1 heure de nouveautés FOLK, FOLK-ROCK, POP ou COUNTRY (en alternance avec les "news" trouvées dans la presse et que nous présentons), et 30 minutes pour finir de vieux trésors à déguster tels des grands crus qui vieillissaient au fond de notre cave, bien planqués "derrière les fagots", et portant tous une étiquette soit ROCK, soit BLUES.

Il est également de tradition, au cours de la première heure, de comparer 2 versions d'une même chanson tant il est vrai que les artistes anglo-saxons réinterprètent très souvent à leur manière les grands succès des autres.

4) Nos sources de "news" et de musiques.

Nombreux ont été ceux qui nous ont demandé, à l'occasion, d'où nous sortions toutes ces informations sur le monde anglo-saxon, et toutes ces musiques inconnues du grand public. Rien d'extraordinaire en fait. Chacun peut en faire autant. Il suffit d'être curieux et de lire un peu tout ce qui vous tombe sous les yeux, d'écouter la radio et regarder la télé, et de filtrer dans ce flot d'informations tout ce qui porte le label anglo-saxon. Et puis, pas un voyage en Grande-Bretagne ou ailleurs sans rapporter plusieurs journaux, et pas un ami en partance pour Londres, Dublin, New-York ou Chester (notre ville jumelle) qui ne refuse de se transformer en messager.

C'est notre méthode de base, avec toutefois 3 compléments importants :

a) Aucune semaine ne se passe sans la lecture approfondie du célèbre "GUARDIAN WEEKLY" (toujours imprimé sur papier pelure) qui reprend les événements de la semaine vus par les Anglais ou les Américains -puisqu'il y a également une sélection d'articles du "WASHINGTON POST" dans ses pages.
b) De plus en plus souvent, quelques fidèles auditeurs de l'émission nous font parvenir des coupures de presse traitant de sujets sur le monde anglo-saxon et sur lesquelles ils sont tombés. Merci ! Et surtout, qu'ils continuent...
Et vous pouvez, à votre tour, participer à cette chaîne d'échange d'informations : nous attendons vos e-mails...
c) Enfin, depuis 1997, INTERNET nous a fait découvrir une nouvelle manière d'accéder à l'information, et surtout de nouvelles possibilités de fouiller dans les archives nous permettant de mieux analyser les événements. Le meilleur exemple de cette presse archivée sur le Web est sans conteste "The ELECTRONIC TELEGRAPH".

Le Web nous apporte déjà jusque chez nous, où que nous soyons dans le monde, la presse anglaise du jour, en quelques secondes, et ce pour le prix d'une simple communication téléphonique au tarif local. On croit rêver ! Surtout lorsque l'on compare ce service aux prix où sont les abonnements à ces quotidiens et à la "lenteur" de leur distribution par la poste lorsqu'ils doivent arriver d'Angleterre ou des USA jusque chez vous. Il est vrai toutefois que l'on aura tendance à imprimer les pages les plus intéressantes, et encre et papier pour votre ordinateur ne sont pas donnés, mais c'est un moindre mal.

Cependant, le plus fabuleux (nous n'avons pas peur des mots) service que nous offrent certains sites internet, c'est la recherche par des "liens-hypertexte" dans leurs archives (depuis 1990 par exemple pour le TELEGRAPH). Chaque article vous donne la possibilité instantanée de compulser les "papiers" déjà publiés et traitant du même sujet, et l'on peut ainsi véritablement analyser l'information "en perspective" dans le temps et suivre l'évolution d'un dossier sur plusieurs mois, voire plusieurs années. Et qui, étant abonné à un journal, serait capable d'offrir un tel service ? De plus, un autre mode de recherche par "mot-clé" vous permet de retrouver ce qui a été publié sur une personne ou sur un problème sans connaître la date précise de l'évènement les concernant. Quel progrès !

C'est l'info classée et maîtrisée, et non plus subie et plus ou moins bien distribuée. La presse de demain est déjà là, en train de se dessiner sous nos yeux, nous en sommes persuadés. Nous sommes même prêts à parier que la radio et la télévision du prochain millénaire suivront la même démarche : à savoir que les émissions ne seront plus uniquement diffusées à heure fixe, mais elles seront stockées sur des ordinateurs, et disponibles à tout un chacun par le web (ou son successeur). Les films, les news, les documentaires, ce sera où on veut et quand on veut ! ... d'un simple "clic" de souris.

Nous allons même tâcher d'appliquer le principe à notre émission "Good Evening, Sens" en vous proposant d'en consulter quelques extraits à votre guise... (pour ceux qui n'ont pas pu être là en direct) en attendant d'y mettre la totalité.

Quant aux musiques, c'est un peu le même principe : c'est en écoutant, en discutant et en voyageant que nous en découvrons toujours des nouvelles. Pas de séjour en Grande-Bretagne sans visite des "record-shops" locales, sans se brancher sur le F.M. du coin, sans demander aux gens du crû qui représente le mieux leur région. Seul un ami gallois pouvait nous faire découvrir les C.D. de Siân James alors que les bacs de musique folk des spécialistes de Chester - notre ville jumelle qui se trouve à quelques mètres de la frontière du Pays de Galles - n'en proposent pas ! Merci David pour ce plaisir désormais partagé avec de nombreuses autres personnes. Merci aussi à Hélène, cette auditrice qui nous a fait découvrir une chanteuse du Canada anglophone inconnue ici en France : c'est ça aussi la radio ! Et puis Internet, une fois de plus, qui nous offre de nouvelles possibilités puisque de plus en plus d'éditeurs de musique y ont un site qui annonce leurs nouveautés et propose même parfois des extraits sonores des meilleurs morceaux.

Voilà comment ça marche. Alors, à vendredi 20 h.

... et c'est déjà la 200ème qui a eu lieu le 8 octobre 1999 !



Septembre 1999